La Montagne
Théâtre physique et burlesque
Solo
Tout public à partir de 8 ans
Solo
Tout public à partir de 8 ans
Une pièce de Guillaume Mitonneau & Thomas Chopin
Interprétée par Guillaume Mitonneau
Chorégraphiée par Thomas Chopin
Lumières de Antoine Duris
Regard sur les costumes : Sonia Bosc
Collaborations artistiques : Jean-Michel Guy, Claire Dosso
Bande son : Thomas Brinkmann, Kavinsky, Mokadelic, Mazzy Star
Interprétée par Guillaume Mitonneau
Chorégraphiée par Thomas Chopin
Lumières de Antoine Duris
Regard sur les costumes : Sonia Bosc
Collaborations artistiques : Jean-Michel Guy, Claire Dosso
Bande son : Thomas Brinkmann, Kavinsky, Mokadelic, Mazzy Star
Le burn-out d’un chef d’entreprise.
Toujours dans l'action, la maitrise, la créativité, l'éloquence, sous les feux de la rampe, en forme, brillant, élégant, marrant, séduisant, compétent, toujours au courant : faut-il être fou pour diriger une entreprise ?
La frontière est ténue entre ambition et folie, rêve et réalité, fantasmes et angoisses, enthousiasme et hyperactivité, réussite et burn-out.
La Montagne exprime les vertiges d’un homme de pouvoir, surfant sur cette frontière pour atteindre les sommets.
Au cours du congrès annuel des actionnaires, un PDG s’adresse publiquement à ses associés. Lors d’un discours qui le dépasse, il craque. Il s’enfonce peu à peu dans un véritable cauchemar. Épuisé, il lâche prise. Ses fantasmes prennent les commandes. On découvre alors l’homme au-delà des apparences. Scènes après scènes il se dépouille et se découvre à nu.
Cette création est le fruit d'une rencontre entre un chorégraphe, Thomas Chopin et un clown, Guillaume Mitonneau.
Une performance qui tient du théâtre dans sa dramaturgie, de la danse dans la mise en mouvement du corps, du cirque dans son rapport au public.
L’acteur mêle la qualité, la précision, l’amplitude du mouvement, le burlesque des situations, l’incarnation des émotions qui saisissent son personnage.
Génèse
« A la fin de mes études d’ingénieur lors de la présentation publique de mon mémoire une angoisse me prit : je perdis connaissance ! Aujourd’hui, mon parcours m’ayant mené sur scène, j’ai compris que le plaisir d’être face au public est proportionnel à la peur que je ressentis alors. La solitude face au public c’est la jubilation contradictoire du vertige, la même ivresse qu’en altitude ou à 10m du sol, alchimie du plaisir et de la peur. Le trac est à l’esprit ce que le vertige est à l’estomac : l’altitude et le public sont deux miroirs du vide. » G.M.
Note d'intention
Le monde actuel est une épreuve sociale difficile et permanente. Inévitable aujourd’hui dans notre société de prendre la parole, un jour ou l’autre, en public. Maitriser la prise de parole, c’est contrôler sa position sociale. Mais à force de contrôle, comment ne pas être tenté de se laisser aller ? Intéressons-nous à ceux qui craquent.
La frontière est ténue entre ambition et folie, rêve et réalité, fantasmes et angoisses, enthousiasme et hyperactivité, réussite et burn-out.
La Montagne exprime les vertiges d’un homme de pouvoir, surfant sur cette frontière pour atteindre les sommets.
Au cours du congrès annuel des actionnaires, un PDG s’adresse publiquement à ses associés. Lors d’un discours qui le dépasse, il craque. Il s’enfonce peu à peu dans un véritable cauchemar. Épuisé, il lâche prise. Ses fantasmes prennent les commandes. On découvre alors l’homme au-delà des apparences. Scènes après scènes il se dépouille et se découvre à nu.
Cette création est le fruit d'une rencontre entre un chorégraphe, Thomas Chopin et un clown, Guillaume Mitonneau.
Une performance qui tient du théâtre dans sa dramaturgie, de la danse dans la mise en mouvement du corps, du cirque dans son rapport au public.
L’acteur mêle la qualité, la précision, l’amplitude du mouvement, le burlesque des situations, l’incarnation des émotions qui saisissent son personnage.
Génèse
« A la fin de mes études d’ingénieur lors de la présentation publique de mon mémoire une angoisse me prit : je perdis connaissance ! Aujourd’hui, mon parcours m’ayant mené sur scène, j’ai compris que le plaisir d’être face au public est proportionnel à la peur que je ressentis alors. La solitude face au public c’est la jubilation contradictoire du vertige, la même ivresse qu’en altitude ou à 10m du sol, alchimie du plaisir et de la peur. Le trac est à l’esprit ce que le vertige est à l’estomac : l’altitude et le public sont deux miroirs du vide. » G.M.
Note d'intention
Le monde actuel est une épreuve sociale difficile et permanente. Inévitable aujourd’hui dans notre société de prendre la parole, un jour ou l’autre, en public. Maitriser la prise de parole, c’est contrôler sa position sociale. Mais à force de contrôle, comment ne pas être tenté de se laisser aller ? Intéressons-nous à ceux qui craquent.
Intérieur
Extérieur
Avec le soutien du Conseil Départemental de l’Essonne et de la SPEDIDAM. Coproduction Collectif pour la Culture en Essonne, Cirk’Eol, Montigny les Metz (57). Accueil en résidence : Théâtre Le Samovar, Bagnolet (93) / Le Silo – Fabrique de culture, Méréville (91) / Service culturel de Morsang sur Orge (91) / Service culturel de Ollainville (91) / Service culturel de Fleury Mérogis (91) / Le Chapiteau d’Adrienne, Ris Orangis (91) / Espace Bernard Mantienne, Verrière le Buisson (91) / Centre Culturel Baschet, Saint Michel sur Orge (91) / Animakt, Saulx les Chartreux (91) / La Grange Dimière – Théâtre de Fresnes (94) / L'Atelier du Plateau (Paris). Merci à aux Comptoirs du Multimédia.